Festival Film Gay et Lesbien – 6 giornate in Costa Azzurra

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Partenaires officiels :  Théâtre Francis Gag / Cinéma Le Mercury / MAMAC /   Librairie Vigna / Briqueterie Concept / Rosalina Bar / Cinéma de Beaulieu /   Lo Peolh Cinéma / Cinéma Les Arcades / Premio Maguey   (Guadalajara) / Cinémarges (Bordeaux) / Botox(s) / L’ECLAT / Prends-moi, le   magazine des sexualités gay / SIS Animation / L’équipe prévention du   CEGIDD / Hi Hôtel / Hôtel Ellington / Hôtel Méridien / Hôtel   Windsor / Novotel Nice Centre / Castel Plage / C’Factory / Friends / King   Sushi / Lord Brougham / Malabar Station / Tote et Mamie Charlotte /   Arc-en-ciel Fleurs   

Les   Ouvreurs remercient : Tous les réalisateurs, artistes et intervenants qui   nous ont fait l’honneur de leur présence (ou de leur message), ainsi que les   producteurs et distributeurs qui ont permis aux films d’être projetés. Ben Crafter / Nyden Lafée Laetitia Combes   / Ecrans mixtes (Lyon) / Chéries Chéris (Paris) / Ciné Pride   (Nantes) / Vue d’en face (Grenoble) / Festival Hors clichés (Besancon) / Des   Images aux mots (Toulouse) / Centre Gay et Lesbien Côte d’Azur / IGLTA   / Le Blast / Blue Angels / Le C’Factory / DKO Casa / L’Eden / Le Friends   / JPA Ingénierie / Le Malabar Station / Les Marches / Le Mas des   Oliviers et tous les oublié-e-s (on s’en excuse sincèrement)

► les 19 – 24 avril à Nice

► les 26 – 27 avril à     Beaulieu sur Mer

► les 28 – 30 avril à     Cannes  

Ho trovato un pezzo di Benoît Arnulf, Direttore artistico di In&Out , che annuncia questo evento. Lo riproduco in originale:

Voici venu le temps des 8e Rencontres In&Out. Le festival du film Gay et Lesbien de Nice, qui s’étend désormais à Cannes et     à Beaulieu-sur-mer, offre un rendez-vous cinématographique incontournable     autour des diversités sexuelles.

Après avoir questionné  en 2015 les risques de marginalisation pour des cultures qui se revendiquent « gays et lesbiennes », nous souhaitons poursuivre cette année     notre réflexion autour des moyens de transmission de ces mêmes cultures, en  nous plaçant sous des auspices nietzschéens : Le Crépuscule des     idoles.

Allen Ginsberg, André Gide, André Téchiné, Andy Warhol,     Annemarie Schwarzenbach, Audre Lorde, Bambi, Bruce LaBruce, Cary Grant,     Chantal Akerman, Christine Jorgensen, Coccinelle, Colette, Constantin     Cavafy, David Bowie, Emily Dickinson, Francis Bacon, James Baldwin,     François Villon, Françoise Sagan, Freddie Mercury, Gertrude Stein, Greta     Garbo, Gus Van Sant, Guy Hocquenghem, Harvey Milk, Hélène Cixous, Hervé     Guibert, Jacques Demy, James Dean, Jean Cocteau, Jean Genet, Jean- Louis     Bory, Judith Butler, Keith Haring, Lionel Soukaz, Lou Reed, Luchino     Visconti, Magnus Hirschfeld, Marcel Jouhandeau, Marcel Proust, Marguerite     Yourcenar, Marie France, Marlene Dietrich, Michel Foucault, Michèle Causse,     Monique Wittig, Natalie Clifford Barney, Oscar Wilde, Patrice Chéreau, Paul     Vecchiali, Paul Verlaine, Pedro Almodóvar, Paul Bowles, Philippe Vallois,     Pier Paolo Pasolini, Rainer Werner Fassbinder, Reinaldo Arenas, Renée     Vivien, Robert Mapplethorpe, Sapho, Simone de Beauvoir, Tom of Finland,     Truman Capote, Violette Leduc, Virginia Woolf, Walt Whitman, William Burroughs, Yves Navarre… pour ne citer qu’eux.

Ces idoles — artistes, cinéastes, auteur-e-s,     intellectuel-le-s, militant-e-s — nous sont diversement familières,     certaines ayant souffert, plus que d’autres, des effets du temps sur nos     mémoires. Mais toutes constituent — au travers de leurs vies, leurs œuvres     ou leurs luttes — la matière première de ce continent culturel aux     multiples facettes. Et elles en indiquent toujours le chemin, même si leurs     voix ne sont plus aussi vivaces que nous le souhaiterions. Gardons à     l’esprit que le crépuscule désigne avant tout la faible lumière qui résiste     à la tombée du jour et aux ténèbres.

David Bowie et Chantal Akerman — tous deux récemment     disparus — mais encore Marcel Proust ou Pier Paolo Pasolini sont     d’excellents guides dans ce cheminement de pensées. Témoins d’époques     soumises à de fortes mutations, leurs œuvres offrent une formidable     réflexion sur l’importance du passage de relais autant qu’elles constituent     des points de repère pour qui tente de se construire en dehors de la norme.     Il nous est apparu important de leur accorder une place de choix dans notre     programmation, pour faire à notre manière notre travail de passeurs de     mémoire.

D’autres films entrent aussi dans cette thématique (4.48 (sur les traces de Sarah Kane),     Je ne suis pas féministe mais…, La Belle saison, La Sociologue et l’Ourson, Les pensées de Paul, Velvet Goldmine, Basquiat…) de même que Le Banquet d’Auteuil, pièce de     Jean-Marie Besset dont nous proposons une magnifique captation.

D’autres thématiques  viendront nourrir une programmation riche d’une soixantaine de films, longs     métrages et courts métrages confondus : un hommage à PAUL  VECCHIALI en     quatre films et une rencontre animée par MATTHIEU ORLEAN, spécialiste de son cinéma ; un focus autour du cinéma  queer mexicain pour accompagner la présence de PAVEL  CORTES et bien sûr une programmation plus  spécialement dédiée aux filles (My  body, my rules4.48     (sur les traces de Sarah Kane)The Chambermaid Lynn ou encore Je,     tu, il, elle).

Les  Ouvreurs accueilleront, comme à leur habitude, de nombreux-ses artistes pour l’occasion : PAUL VECCHIALI pour l’hommage qui lui sera rendu (Once more (encore)C’est l’amour, Bareback ou La guerre des sens, + si @ff (en tout bien tout bonheur)JACQUES MARTINEAU, accompagné de son acteur GEOFFREY COUËT (Théo et Hugo dans le même bateau), NATHAN NICHOLOVITCH (De l’ombre il y a qui a)EMILIE JOUVET (My body, my rules), SYLVIE TISSOT (Je ne suis pas féministe mais…) mais     aussi VERONIQUE AUBOUY pour une performance autour de Marcel Proust (Tentative de résumer A la recherche     du temps perdu en 60 minutes chrono)DIDIER ROTH-BETTONI pour une conférence sur les cinéastes gays qui ont réinventé les images de l’homosexualité (Ceux qui ont osé” )     et ESTHER CUEN, directrice artistique de Cinémarges, festival LGBT de Bordeaux à qui nous avons offert     une carte blanche.

Et  pour la seconde année, In&Out propose une compétition officielle et ses     prix sur mesure, les « Esperluettes ». Le jury offre à nouveau une grande     diversité avec PAVEL CORTES, directeur artistique     des Premio Maguey, prix LGBT du Festival international du film de     Guadalajara ; STEPHANE GERARD, cinéaste venu     l’an dernier présenter Rien n’oblige à répéter l’histoire ; KARINE LAMBERT, universitaire     spéciale de l’histoire du genre et ERWANN LE HÔ, président du Centre     LGBT Côte d’Azur.

Nous avons hâte de vous y   retrouver.”

Benoît Arnulf, Directeur artistique d’In&Out

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